
360 pages
Je dois vous avouer quelque chose. Lorsque j’ai lu pour la première fois le résumé de Addicted to sin, j’étais loin d’être envoûté. Dans ma tête, une petite voix insidieuse répétait en boucle « Encore une romance érotique…! Un peu de changement serait pas mal, non?! » Puis, les premiers avis ont commencé à tomber. J’ai compris à ce moment-là que Monica James avait écrit Addicted to sin du point de vue de Dixon, le héros. Un argument qui a fait mouche, car j’ai eu très envie de lire le roman.
Depuis que sa fiancée l’a quitté six semaines avant leur mariage, Dixon Mathews a renoncé à toute liaison durable. Il enchaine les rencontres éphémères et n’hésite pas à coucher avec les patientes qui fréquentent son cabinet de psychiatre. Mais alors qu’il pensait ne plus jamais éprouver d’intérêt durable pour elles, deux femmes vont croiser son chemin. Juliet est belle et toxique, addict au sexe. Madison est innocente et fragile. Une l’attire sexuellement, l’autre touche son âme et son coeur.
Dixon n’est peut-être pas le meilleur des hommes et il a ses faiblesses mais il sait qu’il doit choisir. Mais les choix les plus évidents ne sont pas toujours les meilleurs et la voie la plus simple peut parfois se compliquer.
Dixon va vite découvrir ce qu’il veut vraiment mais les erreurs du passé reviennent souvent hanter le présent.
Une envie qui est vite retombée en flèche. Si je compte bien, j’ai mis plus d’un mois et demi pour venir à bout de Addicted to sin. J’ai traversé une phase délicate. Tous les romans que je commençais n’arrivaient pas à me divertir. Aussitôt commencé, aussitôt reposé. Tout cela est dû en grande partie à ce roman qui ne m’a pas convenu.
J’ai été convaincu de lire ce roman, car pour une fois la romance est écrite du point de vue masculin. Je crois bien que c’est la première fois que je lisais une romance avec cette construction. C’est un fait assez rare pour le noter. Malheureusement, je ne pensais pas arriver tout droit dans l’esprit d’un désaxé qui se cherche des excuses tout au long du roman.
Dixon est un éminent psychologue spécialisé dans les addictions en tout genre. Il vient à rencontrer deux femmes. Juliet est la copie carbone de Dixon et, malheureusement lorsqu’elle et Dixon sont en contact, ils sont aussi vicieux que le Diable. Quant à Madison, elle représente l’ange, la voie de la rédemption pour Dixon. Seulement, il est souvent plus facile d’emprunter un chemin déjà connu.
Dixon est un être vil que je ne souhaite absolument pas rencontrer. J’aime lire de la romance pour ses héros masculins qui me font croire en l’amour, au prince charmant. Dixon est à mille lieues de cette image. Cet homme n’a aucune morale, alors qu’il représente une figure importante du corps médical. Il se protège en invoquant toujours la même excuse, mais il est simplement de mauvaise foi. À aucun moment, ce personnage n’est attachant, et ce n’est pas mieux concernant Juliet qui est un vrai démon derrière ses boucles blondes.
Le seul personnage un tant soit peu attachant est Madison à cause de son histoire à faire pleurer dans les chaumières. Cependant, cela n’a pas suffi à rendre l’histoire intéressante.
Le dernier clou ajouté au cercueil a été de voir que Dixon se satisfaisait d’un triangle amoureux. Pour lui, rien de plus normal puisqu’il est beau comme un dieu!
La plume de Monica James n’a pas été suffisante pour me captiver jusqu’à la dernière ligne. Et j’ai fini ma lecture en diagonale. Je n’ai pas aimé ce roman et j’en suis la première désolée. J’abandonne cette saga.
Dommage. J’ai beaucoup aimé de mon côté mais comme tu dis, chacun ses goûts 😉
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Je suis passée complètement à côté. J’ai longtemps hésité avant de publier cette chronique, cela fait 4 mois qu’elle reste dans mes brouillons.
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Je vais tranquillement passer mon chemin 😀
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Je te l’avais déconseillé et c’est toujours le cas XD
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Ce roman ne m’attirait pas vraiment, mais les critiques que j’ai lu étaient toujours très positives. Dans ton retour, je retrouve le genre de choses que je n’aime pas lire lorsque je lis une romance (genre que je lis peu, il est vrai). Je vais donc rester sur ma première impression et ne pas le lire.
Merci pour ton retour ; j’espère que tes prochaines lectures seront plus agréables 🙂
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Je me suis laissée aussi convaincre par les critiques alors que le roman ne m’attirait pas du tout. J’aurais dû suivre mon instinct. Heureusement cette lecture date de la fin d’année 2016, début 2017, j’ai eu d’autres très agréables lectures qui me l’ont fait oublier.
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En effet, tu as eu le temps ^^ Tu as mis longtemps à sortir ta chronique car tu as du retard dans tes chroniques, ou plutôt parce que tu n’as pas aimé et tu as donc eu du mal à faire un retour sur le livre ?
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J’ai écris mon avis immédiatement après la lecture du livre. Dans mes brouillons, j’ai une vingtaine de chroniques déjà prêtes où il ne reste plus qu’à cliquer sur le bouton publier. Mais pour Addicted to sin j’ai hésité avant de le faire et elle me paraissait pas pressée. Aujourd’hui devait être le bon jour pour elle 🙂
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J’ai bien aimé moi. Mais c’est vrai qu’il y a un côté dérangeant et immoral 😦
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Ah on ne peut pas toujours aimer les mêmes romances 🙂
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Dommage ! Ce que tu décris de l’histoire ne me donne pas du tout envie de découvrir cette nouvelle saga 😦
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Ce roman a été une telle déception que je n’ai pas réussi à trouver une note positive. 🙃
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