Belle de Robin McKinley – Une belle fantasy!

Editions Pocket - Année 2015 256 pages
Editions Pocket – Année 2015
256 pages

L’adaptions de la Belle et la Bête de Disney est l’un de mes contes et dessins animés préférés. Mon amour pour ce conte vient peut être de la superbe bibliothèque qui m’a toujours fait rêvé, qui sait?
Mais cela vient surtout des idées véhiculées par cette histoire d’amour : la tolérance et l’acceptation de l’autre.

Belle était loin d’être aussi jolie que ses sœurs. A quoi bon ? Aux soirées mondaines, aux robes somptueuses, elle préférait les chevaux et les auteurs anciens. Quand son père se trouva ruiné, elle en fut réduite à aller avec sa famille habiter une pauvre maison, dans un village au fond des bois. Tous auraient pu vivre ainsi, heureux d’une existence loin du luxe et des lumières de la ville, mais le destin s’acharna une fois encore sur eux. Quand son père revint au foyer avec l’histoire d’un château magique et de la terrible promesse qu’il avait dû faire à la Bête qui y vivait, Belle partit de son plein gré affronter le monstre et sa question sans cesse répétée : « Belle, voulez-vous… ? » Ceci est son histoire… une histoire d’amour et de rêve.

Juste avant l’été, j’ai pu suivre en ligne le cours sur la littérature fantastique délivrée par le site France Université Numériqueque je vous recommande fortement. A l’occasion de ce cours, j’ai découvert de nombreux titres fantastiques dont j’ignorais totalement l’existence, c’est ainsi que j’ai eu l’envie de découvrir certains titres conseillés. Belle de Robin McKinley fait partie de cette sélection.

Cette réécriture de conte fantastique n’a pas été sans me rappeler le film de Christophe Gans de 2014. Si j’avais eu à l’époque un avis plus que mitigé sur le film, cette fois-ci je suis plus que convaincue par ma lecture.

On plonge dans l’univers de la Belle, qui au début est encore appelée Honneur, vivant avec cas famille dans l’opulence. Très vite cette opulence se transforme en revers de fortune, contraignant la famille à déménager.
Le conte est assez long à se mettre en place et je me suis demandée à plusieurs reprise si j’allais enfin rencontrer la Bête. Et celle-ci se laisse désirer. Mais une fois son entrée faite, je n’ai pas pu décrocher de ma lecture.

La Bête est un personnage emblématique que tout le monde connait. J’ai trouvé toutefois, que cette version de la Bête est très touchante. Elle ne bouscule à aucun moment la Belle et se trouve dans l’attente de l’épanouissement des sentiments de Belle pour elle. Tous les soirs, la Bête pose la même question à la Belle : « Voulez-vous m’épouser? ». Malheureusement la réponse de la Belle est toujours la même.

La Belle quant à elle est très indécise. Elle apprend à vivre au château et s’y sent assez bien mais le vide provoquer par l’éloignement avec sa famille commence à la ronger petit à petit.

La trame de l’histoire est hyper connue mais j’ai redécouvert avec beaucoup de plaisir ce conte qui a fait travailler mon imaginaire afin de créer l’univers féérique du château. Je conseille donc fortement cette lecture à tous les fans de Disney et des réécritures.

Cliquez sur l’image!

Notes Très bonne lecture


8 réflexions sur “Belle de Robin McKinley – Une belle fantasy!

  1. Neeeeeeeed !!! Je suis aussi une grande fan du conte et de la version animée de Disney (oh comme j’ai pleuré en voyant le spectacle sur scène). Je m’en vais de ce pas me procurer un exemplaire du roman !

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      1. j’en ai pleuré de joie tellement c’était beau! Le Gaston volait tout le spectacle tellement il était génial ! Un des meilleurs shows que j’ai vu avec le Fantôme de l’Opéra à Londres

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        1. C’est vrai que le personnage de Gaston est bien mis en valeur.
          Je suis allée voir également Le bal des vampires et cet automne, je vais voir Cats!
          Je suis une fan de comédie musicale. Celle que j’aimerai voir par dessus tout est les misérables.

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          1. Sur scène ça doit être épique les Misérables !!! J’ai toujours voulu voir Chicago (car je suis une inconditionnelle du film) et un jour je pense que je claquerai ma paie d’un mois et j’irais à Broadway voir un maximum de shows

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