Il était une fois, Tome 3 : La Princesse au petit pois de Eloisa James – Le meilleur de la saga

Collection Aventures et Passion (J’ai Lu) – Année 2013
375 pages

Avant toute chose, je tiens à m’excuser pour mon manque de présence tant sur le plan publication que réponse aux commentaires. Je suis toujours en partiel mais la bonne nouvelle c’est qu’il ne me reste plus que deux jours^^ Je vais enfin pouvoir me remettre à lire, rendre ma critique pour la Masse critique Babelio juste dans les temps, et consacrer un peu de mon temps entre mon blog, les livres et mes séries sans oublier le sommeil. Cela va être le pied!
Bonne fin de semaine 🙂

Comme je vous le disais sur un précédent billet, j’ai commencé cette saga par le tome 2 « La Belle et la bête« , puis j’ai enchaîné sur le tome 4 « Une si vilaine duchesse ». Enfin et encore une fois sans suite logique je me suis lancée dans le tome 3 « La princesse au petit pois ».

Par une nuit d’orage, Olivia Lytton frappe à la porte du duc de Sconce après que sa calèche a versé dans le fossé. Sublime apparition : ses longs cheveux dénoués ruissellent, sa robe trempée souligne des courbes somptueuses. Ébloui, Quin ne peut s’empêcher de lui voler un baiser. Lui le mathématicien de génie imperméable aux émotions s’embrase soudain pour cette femme au franc-parler déconcertant et au langage fleuri. Aurait-il enfin trouvé sa duchesse ? Mais n’est-il pas déjà fiancé ? À la sœur d’Olivia, très précisément ?

Ce dernier tome est pour l’instant mon préféré tant dans l’humour que l’auteur a instillé tout au long de la romance, tant dans le caractère assez burlesque des personnages qui m’a vraiment accroché ! Il ne me restera donc plus qu’à lire le tome 1 « Au douzième coup de minuit » [Aujourd’hui, le tome 1 est lu et vous pouvez retrouver la chronique ici].

La première chose qu’on remarque dans ce livre, à part la magnifique couverture, est que chaque chapitre à un titre percutant comme : « Où sont comparés les mérites de la virginité et de la débouche. A l’avantage de la seconde ! », « Définition des caractéristiques d’un héros de conte de fées », « L’art de l’insulte » …  C’est une bonne dose d’originalité ! Et ces titres ont l’avantage de nous mettre l’eau à la bouche. Je me demandais à chaque fois ce que pouvait bien contenir le chapitre pour mériter un titre pareil!

Olivia, fiancée depuis sa naissance au fils d’un duc du nom de Rupert, a été élevé dans le but de devenir une parfaite duchesse. Ce qu’elle n’est évidemment pas !
Rupert, quant à lui, est plus jeune qu’elle et n’a pas toutes ses lumières allumées au plafond. La soeur jumelle d’Olivia est totalement opposé à l’héroïne, celle-ci est sérieuse et à tous les talents requis pour devenir duchesse. Alors qu’elles séjournent dans la demeure du duc de Sconce afin lui trouver une épouse, Olivia va tomber amoureuse du duc.

Il m’a été impossible de lâcher cette romance une fois entamée. Je voulais connaitre la fin même si celle-ci était prévisible, rappelons que nous sommes dans une romance ! Cependant, avant la fin romantique et prévisible, les événements qui amènent les protagonistes en France sont une surprise.

Pour une fois, le physique de l’héroïne n’est pas parfait. Elle ne ressemble pas à un mannequin anorexique. Olivia est toute en chair, en courbe et en volupté ! Enfin, le dictat de la minceur n’est pas au gout de notre duc et il faut le noter, il est obnubilé par sa poitrine volumineuse !

Les personnages sont attachants et haut en couleur ce qui nous capte dans le récit.
Les pages défilent à un rythme impressionnant et plus vite qu’on ne le voudrait, la fin du livre arrive.
Une lecture donc que je recommande lorsqu’on aime la romance historique et les contes de fée.